• Il est très facile de créer une entreprise aux USA. C’est clairement le pays idéal si vous voulez créer un business. Le marché américain est absolument gigantesque et il est facile de tirer son épingle du jeu si vous avez un bon produit.
• Le marché immobilier local est très fluide.
• Le marché économique est dynamique et particulièrement propice au développement de start-up.
• Il est très simple d’ouvrir un compte bancaire en ligne pour son entreprise. Il existe des néo-banques qui s’occupent de tout (telle que la banque en ligne Mercury par exemple).

• Le système fiscal américain est complexe. Il s’agit d’un véritable millefeuille fiscal. La consultation d’un professionnel de la comptabilité est indispensable pour réaliser vos déclarations fiscales.
• Le coût de la vie est particulièrement élevé aux USA, surtout dans les grandes villes américaines.
• La fiscalité locale est très élevée. Dans certaines municipalités, la taxe foncière s’élève à 2% de la valeur de la propriété. La taxe foncière est réajustée chaque année en fonction de la valeur marchande de la propriété.

• Le coût de la vie est assez faible à l’île Maurice : on peut louer un appartement très décent à partir de 500 euros par mois. Pour une villa avec 3 chambres + piscine, il faut compter au moins 1200 euros par mois. Le prix final du logement varie bien sûr en fonction du quartier résidentiel, des services proposés dans la résidence ainsi que de la qualité de la propriété.
• Les légumes et les fruits produits localement sont très abordables. Il y a une vaste variété de fruits et légumes.
• La cuisine mauricienne est très bonne, mais aussi très grasse et sucrée. Si vous avez du mal à suivre un régime alimentaire draconien, c’est clairement pas une destination pour vous car vous risquez de prendre du poids !
• La fiscalité locale est très attractive : 15% d’impôt sur le revenu et 15% d’impôt sur les sociétés. Pas de double imposition des dividendes (sous conditions). Les charges sociales sont plafonnées et très faibles.
• L’île Maurice est rattachée au réseau interbancaire IBAN, ce qui facilite les transferts d’argent internationaux.
• On parle 3 langues à l’île maurice : le créole mauricien, le français et l’anglais. Plus de 90% de la population parle le français. Il n’y a donc aucun problème de communication.
• On peut trouver des produits alimentaires français. Si vous avez du mal à vous passer du fromage français, de la baguette de pain, de la charcuterie ou des autres délices de la gastronomie française, c’est une destination faite pour vous !
• Les plages de l’île Maurice sont absolument splendides. On peut y pratiquer toutes sortes d’activités sportives, telles que la plongée sous-marine, la natation,…
• Les paysages de l’île Maurice sont remarquables. C’est un endroit idéal pour pratiquer de la randonnée, d’autant que l’on peut se rendre dans des sites exceptionnels, tels que les chutes de Tamarin par exemple.

• Les produits importés de France, comme le vin, la charcuterie ou encore le fromage sont très chers (au moins deux fois plus chers).
• Les véhicules importés à l’ile Maurice subissent une taxe de 100% à l’importation. Il est donc assez cher d’acheter un véhicule.
• Il vous faudra une assurance maladie privée pour couvrir vos besoins médicaux.

• On peut profiter de toutes les activités qu’offre l’île de Bali, telles que les activités nocturnes très animées, les plages de sable blanc, les temples, les rizieres sans fin, les chutes d’eau spectaculaires ou encore les volcans que l’on peut escalader.
• Profitez d’un style de vie relativement sain et simple sur l’île de Bali. On peut pratiquer du yoga ou diverses activités sportives et culturelles.
• La population locale est extrêmement accueillante et bienveillante.
• Il y a de nombreux espaces de coworking sur l’île de Bali, ce qui rend ainsi possible le télétravail.
• Le coût de la vie à Bali est inférieur à celui de nombreuses destinations en Europe ou en Amérique du Nord. Il est possible de manger au restaurant ou de pratiquer des activités pour une fraction du prix.
• Le climat est très agréable sur l’île de Bali. On peut bien sûr être confronté à des pluies tropicales, notamment pendant la saison des pluies, mais globalement le climat reste agréable tout au long de l’année.

• Il est assez pénible de renouveler systématiquement son visa, et en plus la justice indonésienne ne plaisante pas avec les éventuels dépassements de délais.
• Il n’y a pas de transport public sur l’île de Bali. Le moyen de transport privilégié par la population locale reste le scooter.
• Il y a beaucoup d’embouteillages sur l’île de Bali.

• Peu de criminalité.
• Le système de santé est très efficace.
• Excellent système d’éducation nationale.
• La qualité de vie est extraordinaire dans la principauté d’Andorre.
• La fiscalité locale est très faible : jusqu’à 10% d’impôts. Faible taux de TVA.
• Le français reste l’une des langues officielles de la principauté d’Andorre.

• Aucun aéroport international dans la principauté d’Andorre, ce qui rend les déplacements compliqués dans la mesure où vous devez prendre la route et vous rendre à l’aéroport le plus proche.

• La gastronomie espagnole reste réputée au niveau international. On peut déguster une délicieuse paella dans presque n’importe quel restaurant espagnol ou encore diverses spécialités espagnoles telles que des tapas.
• L’Espagne est un pays très proche de la France, donc en quelques heures de route vous pouvez visiter les membres de votre famille.
• Plus de 320 jours de beau temps en Espagne : si vous aimez le soleil, cette destination est faite pour vous !
• La vie nocturne est très animée, notamment dans les grandes villes comme Barcelone.
• La fiscalité locale reste assez lourde. L’administration fiscale est très stricte.

• La lourdeur de la bureaucratie locale reste un gros obstacle en vue d’une expatriation en Espagne.

• Le coût de la vie reste globalement plus faible qu’en France. Beaucoup d’expatriés français s’installent dans la ville de Chiang Mai. Le gros avantage, c’est que l’on trouve des résidences sécurisées avec piscine et salle de gymnastique pour un prix très faible (à partir de 300 euros par mois).
• La Thaïlande impose les revenus selon un barème progressif. Le taux d’imposition effectif varie entre 0 et 35%, en fonction des revenus. Les résidents qui perçoivent des revenus en provenance de l’étranger sont imposables sur ces revenus s’ils sont versés en Thaïlande l’année où ils sont perçus.
• Un etranger a le droit d’acquérir un appartement.
• La gastronomie locale (exotique) est savoureuse (si vous aimez la cuisine asiatique). On peut goûter à toutes sortes de spécialités thaïlandaises, comme le Phad Thaï par exemple.
• L’aéroport international de Thaïlande est très bien desservi. La Thaïlande est situé à quelques heures de vol de destinations touristiques internationales, comme le Viet-nam, la Chine, les Philippines, la Corée,…

• La langue nationale thaïlandaise : le thaï, rend l’intégration plus complexe pour un expatrié français.

• Le coût de la vie est très faible dans la capitale du pays (Sofia). D’autres villes telles que Plovdiv restent très abordables. On peut louer un appartement décent de deux chambres pour moins de 300 euros par mois.
• Les prix dans l’immobilier restent très faibles, y compris dans la capitale du pays. On peut acquérir une propriété immobilière à partir de 600 euros le mètre carré.
• La gastronomie bulgare est extraordinaire : on y mange bien et les restaurants locaux sont très abordables.

• La langue nationale : le bulgare reste très complexe à maîtriser. Il y a clairement une barrière linguistique, même si la plupart des jeunes bulgares parlent anglais couramment.

• La vie locale n’est pas chère. Dans la ville de Tbilisi, on peut louer un appartement dans le district de Gldani pour environ 350 euros par mois (appartement deux chambres).
• Tous les produits locaux sont très abordables : légumes, fruits et tous les produits alimentaires produits localement (pain, charcuterie, fromages, vins,…).
• Le vin georgien est un vrai délice (si vous aimez le vin sucré). D’ailleurs, le vin a été inventé et produit pour la première fois en Georgie.
• La cuisine georgienne (dans les vrais restaurants georgiens) est un vrai delice. Mais il faut être sélectif et bien consulter avant toute chose les bonnes adresses sur Tripadvisor ou simplement Google Map. Les meilleurs restaurants géorgiens sont principalement basés dans la vieille ville de Tbilisi (Old Tbilisi).
• Il est très facile d’ouvrir un compte bancaire dans une banque locale (dans la banque TBC notamment, un peu moins dans la banque Bank of Georgia). Lors de l’ouverture de votre compte bancaire, vous serez reçu par une charmante demoiselle. Il vous suffira d’un passeport et le tour sera joué. Vous pouvez ouvrir votre compte IBAN le même jour et revenir le lendemain dans l’agence pour chercher votre carte bancaire. Les établissements bancaires locaux sont très fiables (la banque locale TBC est notamment cotée sur le marché boursier londonien et il s’agit de l’une des banques les plus fiables dans les pays de l’est).
• L’immobilier local est en plein boom depuis quelques années. La rentabilité globale d’un investissement dans l’immobilier est d’environ 10 à 12% (un peu plus depuis quelques mois depuis l’invasion de l’Ukraine par les russes qui poussent les ukraniens et les russes fortunés à s’expatrier à l’etranger afin de fuir le conflit et l’ensemble des restrictions). Le conflit ukrainien pousse les prix vers le haut.
• Le réseau Internet local est très fiable (dans la ville de Tbilisi notamment). La quasi-intégralité de la capitale est couverte en fibre optique. On peut bénéficier d’une offre Internet (20 Mbps) pour seulement 30 GEL (environ 10 euros par mois). Il est possible de demander (pour quelques euros de plus) une augmentation de la bande passante.
• L’électricité est environ 3 à 4 fois moins chère qu’en France (pour un appartement de 66 m2 avec climatisation une bonne partie de l’été, il faut compter en moyenne 50 euros l’été et moins de 10 euros le reste de l’année). L’électricité est produite localement : environ 75% à partir d’énergie hydraulique (barrages) et le reste principalement à partir de centrales à gaz naturel.
• Le gaz naturel est environ 8 fois moins cher qu’en France. Pour un petit appartement, il faut compter environ 40 euros par mois l’hiver et moins de 6 euros le reste de l’année (la plupart des appartements sont chauffés au gaz naturel).
• L’eau du robinet : 30 fois moins chère qu’en France dans la ville de Tbilisi (0,17 euro par mètre cube).
• La Georgie est l’un des pays les moins taxés au monde. Tous les revenus en provenance de l’etranger sont exonérés d’impôt (dividendes,…). Il est possible de créer une structure locale et de ne payer que 1% d’impôt (sous le statut fiscal du Small Business Status) jusqu’à 500 000 GEL par an de revenu (environ 160 000 euros). Le taux maximal d’imposition sur le revenu est de 20% (contre un taux de 45% en France).
• La création d’une entreprise locale est très simple et peu coûteuse. Pour la création d’une entreprise individuelle, il vous faudra compter environ 200 euros (avec l’assistance d’une comptable georgienne pour les démarches administratives).
• Une entreprise de type LLC n’est imposée qu’au moment de la distribution des dividendes au taux de 15%. On peut donc injecter les économies de l’entreprise dans son développement. Les dividendes locaux ne supportent pas une double imposition.
• Il est possible d’acquérir un appartement pour moins de 650 euros le mètre carré.
• Il existe une boutique locale d’ameublement qui commercialise des meubles et des accessoires de décoration à un prix très faible.

• Les coupures d’eau et d’électricité sont assez courantes (variables suivant votre lieu de résidence). Le réseau d’approvisionnement en eau est hérité de la période soviétique et le réseau est très vétuste. Le gouvernement georgien investit massivement dans les réseaux d’assainissement mais cela prend du temps.
• Tous les produits importés de l’etranger sont chers (notamment le fromage français, jusqu’à 3 fois plus cher qu’en France).
• La sécurité sur les routes de Georgie est assez précaire (notamment si vous vous déplacez en taxi).
• La langue nationale : le georgien, est assez complexe. La plupart des Géorgiens de plus de 30 ans parlent le russe. Mais si vous ne parlez ni le russe, ni le georgien, il vous sera compliqué de communiquer avec les locaux.
• La plupart des produits commercialisés en Georgie proviennent soit de Georgie, soit des pays à proximité (Russie, Turquie,…). Il n’y a donc pas toujours de traductions en anglais, mais la présence de nombreux supermarchés Carrefour vous permet de trouver quelques produits français (biscuits,…).
• La devise locale (le Lari georgien) est très instable et volatile.
• La population locale vit sous la menace permanente d’une invasion russe. Une partie de son territoire est occupée illégalement par l’armée russe.
• Pour des emprunts dans la devise locale, le taux d’intérêt est très élevé (environ 12%).

• Il est possible d’acquérir un appartement en nom propre en tant qu’étranger.
• Il existe des grands centres commerciaux dans la ville de Manille (comme le centre commercial de Mall of Asia qui est l’un des plus grands centres commerciaux au monde en termes de superficie). Il est impossible de s’ennuyer aux Philippines avec tous les centres de loisirs et de divertissements.
• La population locale est très festive et tout est prétexte à faire la fête. Les philippins sont très souriants et accueillants.
• La population locale parle couramment l’anglais : il est très rare de trouver un philippin qui ne comprenne pas un minimum l’anglais. Même le fermier local maîtrise un minimum l’anglais et est capable de répondre à toutes sortes de requêtes.
• Le coût de la vie est globalement faible, mais très variable suivant votre mode de consommation (européen, asiatique,…).

• La fiscalité locale est assez élevée (imposition sur le revenu jusqu’à 35%). L’administration fiscale locale est très stricte et un éventuel défaut dans vos déclarations fiscales peut vous mener directement en prison pendant plusieurs années.
• Il est impossible d’acquérir un terrain en nom propre en raison de la législation locale.
• Le pays est gangrené par la corruption locale. L’élection du nouveau président Marcos (fils de l’ancien dictateur philippin) ne laisse présager rien de bon à ce niveau.
• Les prix locaux ont beaucoup monté depuis 2009 : à titre d’exemple, un appartement T1 dans la résidence “Sea Residences” pouvait s’acheter pour environ 1,7 million de pesos philippins en 2011 et il faut compter au moins 5,5 millions de pesos pour en acquérir un en 2022. Les prix ont véritablement flambé depuis 2017. On peut se demander si on est pas en face d’une véritable bulle spéculative immobilière ?

TEXT PROPIETAT: https://www.cyriljarnias.fr/dans-quels-pays-expatrier-expatriation/